Les péripéties ou le devoir militaire d’une enfant à la guerre !
Àgauchedel’entréedelagrange,setrouvaitleréduitàcochonsetensuitelelavoirdemaGrand-MèreValérie.Aucunesortienedonnaitsurlapetitecuisine. La seule porte se fermait avec un verrou depuis l’extérieur.Un jour, Josette âgée de neuf ans suivi un Allemand faisant la ronde devant la maison de mes Grands-Parents. Il entra dans le réduit à cochon par curiosité.EtJosettel’enfermadesuiteaveclegrosverrou!L’Allemandluidemandaplusieursfoisdeluiouvrir…Josettenecomprenantpasl’allemand…Elleriaitcomme une enfant de son âge. Enfin un jeu !Caràl’écoleonn’étudiépas,pasdeleçonàapprendre.Ellepassaitlesheuresd’écoleàattraperlesdoryphoressurlesplantsdepatatesdanslejardinde l’instituteur. Pour une fois qu’elle pouvait jouer !Et encore il n’y avait pas d’école régulièrement. Elle allait jouer avec sa copine Huguette avec des jeunes filles bretonnes, parisiennes, ou réfugiées.Cejour-làcourantseptembre1944lesAméricainsarriventàSainte-Hélène.Trèsrapidementladizained’Allemandsinstalléedanslagrangesurlefoinse prépare à quitter les lieux. Le prisonnier de Josette hurlait de toutes ses forces afin de le délivrer. Il passait sa main par la « polotte » afin d’être vu par ses compatriotes. Aprèsplusieursheures,vuetentendu,ilfutdélivréparunAllemand.Josetteprisedepaniqueparlatournuredesévènementsallasecacherdansundes greniers. « Je me suis barrée, j’ai eu la trouille ! » se souvient Josette. Ma Grand-Mère était morte de peur ! Josette en ri encore !
Les péripéties ou le devoir militaire d’une enfant à la guerre !
Àgauchedel’entréedelagrange,setrouvaitle réduitàcochonsetensuitelelavoirdemaGrand-Mère Valérie.Aucunesortienedonnaitsurlapetitecuisine.La seule porte se fermait avec un verrou depuis l’extérieur.Unjour,JosetteâgéedeneufanssuiviunAllemand faisantlarondedevantlamaisondemesGrands-Parents. Il entra dans le réduit à cochon par curiosité.EtJosettel’enfermadesuiteaveclegrosverrou! L’Allemandluidemandaplusieursfoisdeluiouvrir… Josettenecomprenantpasl’allemand…Elleriaitcomme une enfant de son âge. Enfin un jeu !Caràl’écoleonn’étudiépas,pasdeleçonàapprendre.Elle passaitlesheuresd’écoleàattraperlesdoryphoressurles plants de patates dans le jardin de l’instituteur. Pour une fois qu’elle pouvait jouer !Etencoreiln’yavaitpasd’écolerégulièrement.Elleallait joueravecsacopineHuguetteavecdesjeunesfilles bretonnes, parisiennes, ou réfugiées.Cejour-làcourantseptembre1944lesAméricainsarrivent àSainte-Hélène.Trèsrapidementladizained’Allemands installéedanslagrangesurlefoinseprépareàquitterles lieux. LeprisonnierdeJosettehurlait detoutessesforcesafindele délivrer.Ilpassaitsamainparla «polotte»afind’êtrevuparses compatriotes. Aprèsplusieursheures,vuet entendu,ilfutdélivréparun Allemand.Josetteprisede paniqueparlatournuredes évènementsallasecacherdans undesgreniers.«Jemesuis barrée, j’ai eu la trouille ! » se souvient Josette. Ma Grand-Mère était morte de peur ! Josette en ri encore !